La lutte finale (suite et fin)

En prévision du tsunami politique annoncé, et avant les primaires américaines décisives du 4 Mars prochain, une échéance qui est d’ordre virtuel, la cause étant entendue à mon sens du moins côté démocrate, il m’a paru opportun de mettre en ligne un documentaire qui fera mieux connaître BARAK Obama, sénateur de l’Illinois, cet homme par qui tous les malheurs vont s’abattre sur notre Planète, si je m’en réfère à une analyse primaire d’une certaine presse occidentale, pas forcément anglo saxonne.

Ceci étant, le dernier message du forum de AFCAM, "La lutte finale", a donné lieu à une intense réflexion dont je vous livre un extrait de texte qui me paraît très significatif d’un état d’esprit généralisé.... Moi d’abord, pour le reste après moi le déluge…

L’internaute dit en substance, je cite…

« « Une vie d'homme est bien courte au regard de l'Histoire, même si nous aimerions quelque fois voir les choses évoluer plus vite, la question est "que faisons nous"?

Cette phrase je l’ai relue maintes fois, pour bien comprendre la philosophie, le mode de fonctionnement de son auteur qui croît en ce qu’il dit, et nous pouvons lui en délivrer quitus, car il a frappé dans le mille…bravo…

Que faisons nous…

Il est indéniable que cette question est posée à la diaspora africaine, dans sa multitude, car d’une façon sous jacente c’est bien du sort de l’Afrique dont il s’agit, et bien évidemment de l’avenir de ce grand Continent, et la dignité du Monde Noir qui est suspendue à son destin.

En vérité trop de conférences de symposiums, des occasions pour se donner bonne conscience, et sabler le champagne à bon compte, alors que les problèmes n’ont pas bougé d’un iota.

C’est dans ce contexte, et je reviendrai, que l’arrivée sur la scène mondiale de Barak Obama, revêt une importance essentielle pour les Africains et les originaires de la Planète tous paramètres confondus.

L’homme ne s’est pas posé des questions, dans un environnement pourtant difficile, il a décidé d’avancer de proposer peu importe le succès in fine, et pour moi il a déjà gagné…

Et pour l’Afrique me direz vous, un tel scénario peut-il voir le jour, avec une forte personnalité, genre CHAKA, qui serait capable d’imposer un point de vue acceptable du Nord au Sud de l’Est à l’Oust du Continent, pas certain... car les prétendants éventuels connaîtraient le sort de Patrice LUMUMBA, une bien triste de fin pour une bien triste AFRIQUE…

Après l’assassinat du Duc d’Enghien (Mars 1804) Napoléon Bonaparte, Premier Consul, qui n’avait pas semble t-il couvert ou commandité cette opération, tout en l’exploitant par la suite, devait déclarer que la saignée faisait partie de la médecine politique…une solution radicale comme une autre , mais dans un sens collectif…en certaine circonstance de l’Histoire des hommes…